photo SALON DES ARTS DU PETIT FORMAT EN COMMINGES

SALON DES ARTS DU PETIT FORMAT EN COMMINGES

Sculpture, Peinture, Foire - Salon

Latoue 31800

Du 19/07/2024 au 04/08/2024

L'association LACUNAPA (Latoue Cultures Nature Patrimoine) , avec le soutien de la Mairie de Latoue organise pour la 2è année, une exposition de peintures, sculptures et photographies de petites dimensions. Cette année, encore, le salon, sera organisé essentiellement en intérieur, à salle des fêtes et dans l'église. Pour les exposants, vous retrouverez toutes les informations ainsi que le bulletin d'inscription sur le mail de l'association Lacunapa. Dates à retenir : Inscriptions jusqu’au 15 juin 2024 Dépôt des œuvres : 13 et 15 juillet 2024 Retrait des œuvres : le 4 août 2024

photo EXPOSITION MOSHEKWA LANGA (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

EXPOSITION MOSHEKWA LANGA (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

Manifestation culturelle

Toulouse 31000

Du 17/09/2021 au 17/10/2021

Les œuvres de Moshekwa Langa peuvent être lues comme les pages d’un journal de bord, comme des annotations relatives aux événements de sa vie. De manière plus ou moins directe, elles évoquent les impressions rémanentes d’un lieu, le souvenir d’une image aperçue dans un magazine ou d’un moment associé à la mélodie d’une chanson. Leur clé de lecture peut s’y trouver directement inscrite, comme, par exemple, lorsque se croisent, sous forme de listes, les noms de personnages historiques, de connaissances ou d’amis, mais cette géographie mentale reste parfois entièrement abstraite avec pour seul indice un titre, toujours lié à un instant fugace dans la vie de l’artiste. L’impressionnisme que pratique Moshekwa Langa trouve son équivalent le plus proche dans l’œuvre de James Joyce, dont il a adopté la méthode et qui, dans le texte comme dans la trame des peintures, entrelace dans un même flux sensations du quotidien et événements historiques. La plupart des images visibles dans la série de peintures rassemblées à Toulouse provient d’un recueil de collages réalisé récemment en Afrique du sud à partir de coupures de journaux et intitulé Ingwe Mabala-bala (qui signifie « le léopard[...]

photo EXPOSITION SIAH ARMAJANI (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

EXPOSITION SIAH ARMAJANI (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

Lecture - Conte - Poésie, Exposition

Toulouse 31000

Du 17/09/2021 au 21/11/2021

Siah Armajani (1939-2020) est un artiste américain d’origine iranienne. Inquiété par la police du Shah, il émigre aux États-Unis au début des années 1960 et s’établit à Minneaoplis. Son oeuvre américaine commence par des toiles entièrement recouvertes d’écritures manuscrites en farsi qui peuvent évoquer Pollock, Tobey ou certaines peintures lettristes. Dans le contexte culturel et linguistique où il est soudain plongé, il s’agit pour lui de sauver sa mémoire de la poésie persane dont il est nourri. Puis, Siah Armajani va déplacer son travail vers les problématiques de cette époque. Il contribue ainsi aux développements de l’art conceptuel en participant à plusieurs de ses expositions fondatrices. Mais ses réflexions politiques et philosophiques sur la démocratie américaine et ses penseurs (Jefferson, Emerson, Thoreau, Dewey, etc.) l’éloignent de ce type de pratique artistique et de cette idée de l’art. Il entame alors une vaste enquête sur les formes prises par les architectures sans architectes et celles qu’inventent les ingénieurs. Il s’intéresse au vernaculaire, à l’humble, au simple, à l’utile. Les ponts retiennent son attention. À partir de 1974, il va se définir comme[...]

photo EXPOSITION MIRYAM HADDAD (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

EXPOSITION MIRYAM HADDAD (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

Peinture

Toulouse 31000

Du 17/09/2021 au 21/11/2021

Une palette aux couleurs vives, tranchées, une pâte épaisse appliquée à la brosse, au couteau. Telles sont les caractéristiques affirmées du travail pictural de Miryam Haddad. Que ce soient de grands formats amples ou des petits formats plus intimistes, leur puissance et leurs formes agitées nous sautent au visage. Poursuivant un sillon creusé depuis quelques années, touffues et chatoyantes, ses peintures à l’huile sont nourries aussi bien de l’expressionnisme occidental que de réminiscences venues d’Orient, des peintures de Kokoschka comme de l’univers du cinéaste Paradjanov, riches d’une luminosité qui garde l’empreinte de la vision de vitraux. Jouant des épaisseurs et des transparences, elles sont habitées de figures au seuil de la perception, et invitent à se laisser porter par les courbes et les couleurs d’un chaos tourbillonnant où rien n’est donné d’emblée. Il s’agit d’affronter la toile, d’y plonger le regard, de prendre le temps, patiemment, de s’abandonner à la divagation. De se laisser dériver pour accueillir les figures qui en émergent, ici les formes naissantes d’un visage ou là des animaux, comme les silhouettes humaines et les formes architecturales devinées[...]